Qui suis-je

Qui suis je?

Qui suis-je, me demandes-tu avec désarroi,

Un mystère à dévoiler, une âme en émoi.

Je suis le reflet de tes pensées profondes,

Un être en quête de sens, qui vagabonde. 

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Je suis le murmure du vent dans les arbres,

Ce souffle invisible, qui caresse ta peau de marbre.

Le rire cristallin d’un enfant qui s’émerveille,

La lueur d’espoir qui brille dans tes yeux qui veillent. 

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Je suis l’ombre qui te suit, fidèle compagne,

Le silence qui t’entoure lorsque tu te déranges.

Je suis le miroir qui renvoie ton image,

Le reflet de ton être, sans détour ni mirage. 

Je suis l’amour qui t’enlace, doux et sincère,

La passion qui enflamme ton cœur solitaire.

Je suis la force qui t’anime, lorsque tout semble perdu,

La voix intérieure qui guide, ta recherche de l’absolu. 

Qui suis-je, te demandes-tu encore une fois,

Je suis simplement toi, dans ce monde sans foi.

Un être unique, avec ses doutes et ses certitudes,

Un être qui évolue, en quête de plénitude.

Guy – juillet 2023

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Je suis l’amour qui t’enlace, doux et sincère,

La passion qui enflamme ton cœur solitaire.

Je suis la force qui t’anime, lorsque tout semble perdu,

La voix intérieure qui guide, ta recherche de l’absolu. 

Qui suis-je, te demandes-tu encore une fois,

Je suis simplement toi, dans ce monde sans foi.

Un être unique, avec ses doutes et ses certitudes,

Un être qui évolue, en quête de plénitude.

La mer est triste

La mer est triste…

Ce soir, j’ai vu la mer, le cœur à marée basse,

Dans le soleil couchant, le ciel pleure et s’efface. 

Il fait gris sur la grève, la lune n’est pas venue !

Le ciel tombe et sombre, la brume est revenue !

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Le jour verse sa peine et la vague se brise.

Que cette onde est triste, sous ce ciel, sans surprise !

La mer au loin s’enfuit et nous laisse sans rêve,

Sans un espoir tandis que cette nuit s’achève.

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Demain il fera beau, sous un soleil nouveau.

La lumière forcera le réveil sans fardeau.

Le vent nous soufflera de ces mots sans pareil,

Ces quelques traits d’amour chuchotés au réveil.

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Il suffit de ce rien pour chasser les nuages :

Pas à pas, le soleil a doré le rivage,

Caresse d’une vague qui part en maraude ;

Ce matin voit la mer, le cœur à marée haute.

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Guy E – janvier 2022